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Projet Gabao

by Tu-Suns Empire

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  • Projet Gabao (Audio CD - Montreal)

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Vendredi Soir Parti pour faire la fête Viens avec moi Tu Suns Baby… 1/ C’est vendredi soir, fini le boulot et la fac, Fait que, je m’en vais traîner à la SAQ. Je prends les «aff» et le liquide pour la fête. Faut que je bouge au studio, ben alors je m’apprête. Réception des textes, des clopes, et du briquet, Je suis toujours en retard, «comme d’hab»… je suis l’africain. Ligne bleu direction Jean Talon, puis Métro Jarry, Chez mon pote Nabo où tous mes gens attendent que j’arrive. Refrain Vendredi soir on est en feu dans tous les quartiers Partant de rien jusqu’à avoir les yeux écartés. Vendredi soir on est en feu dans tous les quartiers Viens avec nous si tu sais comment t’éclater Vendredi soir on est en feu dans tous les quartiers Partant de rien jusqu’à avoir les yeux écartés. Vendredi soir on est en feu dans tous les quartiers Viens avec nous si tu sais comment t’éclater 2/ Sorti du studio, préparation pour le club, Faut que je dégage, mais pour l’instant mon ventre réclame. Dispersion du groupe, pour la croûte, et moi je décale au BK, Affamé et oubliant que j’ai l’estomac délicat. Arrivé à l’apparte, je dépose tous les hits, Ma copine qui écoute, se sent seule, je l’invite. Puis on joue à touche-touche, sous les couches louches, De la chambre à la douche, puis on sèche et c’est le push-push. So fresh so clean? Décollage (oui) Une belle voiture nous attend pour le temps des beaux dommages J’appelle les frères pour les estimations De la teneur de la foule et les bonnes destinations. Regroupement de la clique, on se saoule au QG. Dans un coin tranquille, jusqu’à avoir les yeux figés. Minuit approche, un dernier verre et c’est le démarrage, Je range mon cell, et je sors la gum, de son emballage. (Refrain) 3/Et le putain de line-up se fait sentir, Le début du massacre qui donne envie de disappear, Trop bourré pour faire de l’attitude je m’habitue, Quand le bouncer à l’entrée fait son capitaine Il gueule, voit la guest, nous regarde et fait sa vache, Quand j’accroche des billets que je glisse dans sa poche. Puis on rentre dans foule, et le son nous envoûte, Dans le salon, on s’assoit, et on imite les grands ducs. À l’intérieur je fournis des bouteilles à mes compères, La serveuse me sourit, comme si j’étais son père. Je lui donne un gros tips, elle me tâche de son lip-sil, Que ma belle ne fait que lancer de missiles. Avec un peu de champagne on oublie tout, Jusqu’à 3h, qu’à la fin on oublie les manteaux. Ma tête tourne… mais pas le temps pour foutre le trouble. Faut que je parte dans mon coin et que je goûte des courbes.
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1/ C’est la spécification d’un rap de méditation Et sans hésitation je viens brûler les partitions Car mon encre sent le sang sur mes feuilles des 100 leçons, Où mes rimes incandescentes annihilent les indécents. Je ne suis que le disciple, mais la brume m’incite, À me déjouer du cycle où les gens meurent dans un cyclone. Rusé comme Ulysse, je tuerai le cyclope, Qui représente le chaos, quand je fume 6 clopes. Je me prépare pour ce combat, comme un argonaute, Qui s’en va sauver les siens avec des armes de maître. Et je laisserai des âmes neutres, sans les pleures et les mécréants, Qui se perdent au chapitre des intolérants. Que d’inopérants et de bourreaux qui préfère l’opéra, Écoute ce son et demande toi, qui sont les vrais conquérants. C’est A.L.S. le lézard de Clair Obscur Productions, Qui te laisse de belles marques et crée la confusion. Propulsé par le spartiate et le vautour, Je prends l’envol quand des lances empêchent ton détour. Car il faut que tu coures et contournes les bornes, Quand la société t’annule et approuve la norme, «Ouais, Putain!». Caméléon dans le rap je deviens hostile, Mais n’oublis jamais que c’est de l’amour que je distille. Car mon seul but c’est de toucher les astres, Réunir les bons, les inventeurs et toutes les castes. Refrain : Dans la musique je mets ma vie, toute mon implication, Pour que le monde se ravive et reste en lévitation. Je donne de l’amour, un peu de rire, même sans réputation, Et les jaloux je les abîme jusqu’à l’amputation. Dans la musique je mets ma vie, toute mon implication, Pour que le monde se ravive et reste en lévitation. Je donne de l’amour, un peu de rire, même sans réputation, Et les jaloux je les abîme jusqu’à l’amputation. 2/ Irréversible est mon sort, pour l’essor et la réduc’ , Faut que je m’éduque, pour mes frères en mode récup’ , Sur un son qui décuple, la force d’équipe quand je prie fort, Sans prendre une cuite, je mets le kit qui me rend puissant. Sur l’intuition, du tacticien, je viens ratisser, Un ton pressant, un gros tesson, qui vent s’immiscer. Alors laisse béton, je garde l’essence très abyssale, Et comme Luc Besson, j’ai le scénario pour faire du sal. Je ne suis que la pépite, qui gravite dans l’univers Hit, Freak, Égo-trip, Mais ne me prends pas pour un pitre. Car mes rimes balancent des piques, quand le son m’implique, Alors je veux la médaille, comme aux jeux olympiques. Je suis prêt à atteindre mon but, près de ma ressource, Et je garde la foi, tout en visant la bourse. Si l’histoire de chacun, est un exemple pour tous, Permet-moi de dépasser pour réussir ma seule course. Refrain : Dans la musique je mets ma vie, toute mon implication, Pour que le monde se ravive et reste en lévitation. Je donne de l’amour, un peu de rire, même sans réputation, Et les jaloux je les abîme jusqu’à l’amputation. Dans la musique je mets ma vie, toute mon implication, Pour que le monde se ravive et reste en lévitation. Je donne de l’amour, un peu de rire, même sans réputation, Et les jaloux je les abîme jusqu’à l’amputation. Laisse-moi anticiper, quand le Hip-Hop vit la cécité, Pleure la densité, plein de merde dans les cités. La lumière est à susciter, au fond du récital, Pour le peuple précipité qui se pète l’occipital. Comme des pétales sous les pas des piétons, Nos rêves ont les étale, au regard des pythons, Qui se prennent pour des titans ou le fils de crypton, Mais je reste authentique pour tous les habitants. Refrain : Dans la musique je mets ma vie, toute mon implication, Pour que le monde se ravive et reste en lévitation. Je donne de l’amour, un peu de rire, même sans réputation, Et les jaloux je les abîme jusqu’à l’amputation. Dans la musique je mets ma vie, toute mon implication, Pour que le monde se ravive et reste en lévitation. Je cherche mon bout de pouvoir quand tu te demandes ce MC c’est qui, A.L.S. de Clair Obscur, dans tes ondes, sois pas surpris Ouais c’est mon implication. Regarde mes frères, King Leonidas, Yacier Menyk. On arrive… Es tu prêt? (rire). Écoute… Saaah!!
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1/Je t’emmène dans mon rêve, dans le plus beau des hôtels, À 37 degrés, comme ma chaleur corporelle. La nourriture est infinie, toutes les femmes sentent la cannelle, Et les invités se heurtent, au bonheur intemporel. À l’accueil, il y a la dame, que j’appelle, la Bella… Elle ne te dira pas bonjour, «mais qu’est ce que tu fais là?». Laisse-la te guider vers le bruit, «près des parasols», Où on danse et fait la fête, comme à Costa Del Sol. Fraie ton passage dans la foule, aux parures non-obscènes, Quand la mélodie résonne, à la saveur de l’île des signes. Tu verras par toi-même, qu’il n’y a qu’une ambiance saine, Des sourires, des gens qui s’aiment, que t’oublieras que t’hallucines. Pas besoin de s’énerver, pour de «l’alcool à profusion», Toujours gratuit et sans effet, «pour éviter la confusion». Tous les menus et les recettes, projettent la joie en effusion, Se mélangeant dans tes préceptes, de bonne humeur en intrusion. Refrain : Bienvenu dans Mon Hôtel Plaza, Où on monte le son, sans faire pleurer le voisin. C’est là que l’on brille, en étoile que vise la NASA, En laissant des vagues d’amour, pour les bonnes raisons… Aaaah! Bienvenu dans Mon Hôtel Plaza, Où on monte le son, sans faire pleurer le voisin. C’est là que l’on brille, en étoile que vise la NASA, Et c’est trop facile de faire, comme «a la casa»… Aaaah! 2/Aux étages il y a toute l’équipe, pour la beauté de nos suites, La plus rare des céramiques, et la plomberie sans les fuites. À la terrasse il y a des gens, qui t’attendent, «près du jacuzzi», Prêts à se livrer en émotions, «sans qu’il y ait jalousie». C’est l’heure de la débauche, quand s’écoule le champagne, Mais n’aies crainte que dans les nuits, il n’y ait des lumières qui s’éteignent. Car tu erres sans tes limites, et même la fatigue t’épargne, C’est ma dimension unique, il n’y a que les murs qui se plaignent. (Refrain) 3/Pleins de festivités, s’organisent pour ton désir, Et dans ta chambre, tu auras droit, à des habits sur mesure. Inutile de chercher, la personne qui t’accompagne, T’es bienvenu(e) dans mon délire, alors je gère ta campagne. C’est moi le maître dans les lieux, et tu verras mes valeurs, Le partage de toutes les races, et au grand jamais, des voleurs. Je te projette la vraie vie, dans mon hôtel «plein de grâce», Qui représente mes avis, où «tout le monde à sa place» (sifflement du lézard). (Refrain) Outro : C’est trop dur de le quitter, Cet Hôtel est réputé, Pour te donner, sans hésiter, La chaleur et l’équité. Reviens donc le visiter, Nul besoin de t’inquiéter, Oublie toute ambigüité, Dans ce monde t’es l’invité(e)…
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Black Funk 03:09
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1/ Concentré dans la perle de la belle et grande magie, Ma ville Libreville, s’illumine de pleins de bougies. C’est le berceau de mes intuitions, où je crée, avec mes impulsions, Aux prises avec les répressions, quand je pleure et réagis. J’ai envie de crier, en la voyant se plier, Entrain de se faire piller, pour des raisons de billets. Et je veux déjà oublier, et essuyer toutes ses tâches, Puis aller de l’avant, pour que le peuple suive la marche. Tout le potentiel, se gère au ralenti, Pour voir l’essentiel, pas besoin de lentilles. Le fossé se creuse, entre les pauvres et les nantis, Et je suis le témoin, de cette entrave qui se remplit. Mais je connais sa nature, radieuse et très mature, Capitale, de mes rêves et aventures. Et j’arrête de chercher, dans le fond et sa logique, Quand les flux se répandent, et les cœurs s’agitent. Refrain : J’écoute, sa, voix, magique… Je sens, sa, loi, magique… Dans ma, mémoire, c’est magique… Je veux, sa, gloire, car c’est magique… 2/ Et je sillonne les rues, que j’empreinte comme un somnambule, Sans définir le chemin, comme un pur débile. Avec quelques virées, sans les millions, Je savoure ma vie d’oublié, tout en fondant des unions. De la chaleur du jour, à l’ambiance de la nuit, Je contemple les trésors, des amitiés et de l’envie. Et mon délire est éphémère, à l’instant où coule la mousse, Mais je prends le temps de rire, de la ville à la brousse. Le beau aborde le simple et le bon, sans les idées, Et les espoirs se ressentent, tous au point, de me vider. Je veux tout deviner, sans me morfondre, Aider et raisonner, sans me confondre. Mes pas sont sur la cendre de ces projets utopiques, Et font que je forme en un guerrier des tropiques. Pour protéger l’éthique, le savoir, de ma belle culture, Je prendrai le plus grand mal à la Épicure. Refrain : J’écoute, sa, voix, magique… Je sens, sa, loi, magique… Dans ma, mémoire, c’est magique… Je veux, sa, gloire, car c’est magique… 3/ Et je plane dans la dimension, aux sons folkloriques, Où la fierté des émotions, a des repères symphoniques. Qui se complètent avec l’euphorie, et la force des messages, Quand la tradition orale, devient l’outil des grands sages. Très loin des mensonges, je prends l’héritage, De la contrée de mes songes de l’amour et de mes rages, Sans jamais tourner la page, je lirai entre ses lignes, Pour ressortir le courage, de mon peuple toujours digne. Refrain : J’écoute, sa, voix, magique… Je sens, sa, loi, magique… Dans ma, mémoire, c’est magique… Je veux, sa, gloire, car c’est magique… C’est la magie de Libreville… (4 fois)
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1/C’est mon départ, et mon flow suit le respect, Je crée l’écart, car il faut que je respire. Je suis le rescapé, de cet art, Où les prestataires, ont détourné nos parts. Mon Hip-hop est tout sombre, laisse-moi poser la sonde, Quand tout semble, finir en cendre. C’est mon instinct, et je me décide, En fixant, mon signe, que je dessine. Alors je porte mes origines, Libreville, Gabon a.k.a. Gabao, Ne confond pas avec Beijing. J’ai tout ça dans les gènes, et je pue l’étranger, Car le son est ma gym, et je ressens le Danger. Sens le contact, et tout le mouvement bestial. Quand je te tape, dans ta commande Spécial. Nouveau style, dans ce sport, je m’installe. Dans la file, et je score. Refrain : Je représente, ma race, mes traces, ma force, car ma source s’appelle, GA-Ba-O! Au bout du monde, sans repères, et ma place, de renaissance, j’appelle, GA-Ba-O! Dans le Hip-hop, mon message, et la marque, de ma détresse, s’appellent, GA-Ba-O! Pour ceux qui blessent, et qui oppressent, je crée j’écris je crie, Ga-Ba-O! 2/Sors ton glaive!!, c’est dans mon pays qu’on sprint, Que ce soit LBV, ou dans les petits districts. Suis les détails, ou détales si t’es Player, Quand nos entailles, font ressortir la frayeur. Trop de gars désobligeants, trop sont souvent négligeant, Ils ont faille, mais le travail, n’est pas assez Diligent. Ya Pas de Phases, et peu d’occases, Quand ils sont en pause, pour l’extase. Où est la Chronologie? Ya pas de Fée du logis! Frangin-frangin, dis moi pourquoi, tu veux faire la magie? Tu veux la Base à l’aise, sans faire le brave. Alors ressens le malaise, quand on te baise grave. C’est le bled et sa méthode, Contre-indiquée. Tu veux te compliquer le code, alors sors le briquet. Moi c’est ma vie, et je n’ai peur de rien, Et je suis d’avis, que je peux faire, le bien. Refrain : Je représente, ma race, mes traces, ma force, car ma source s’appelle, GA-Ba-O! Au bout du monde, sans repères, et ma place, de renaissance, j’appelle, GA-Ba-O! Dans le Hip-hop, mon message, et la marque, de ma détresse, s’appellent, GA-Ba-O! Pour ceux qui blessent, et qui oppressent, je crée j’écris je cri, Ga-Ba-O! 3/Implicite est ma version, mais je reste ici, Dans mes principes et ma mission, de porter ce site. J’ai le Gabon dans le sang, et tout son sens, Quand je me concentre, et l’histoire je ressasse. Ne me cherche pas, car je n’ai à faire des rivaux, Tu veux des faire-part, va parfaire ton niveau. J’ai vu le pivot, comme un pervers, sans (le) préso, Qui a vu Cerbere, devant sa prison. Alors je pose, comme si c’était la dernière prose. Je sors pleins de clauses, Quand je compose. Mc, mais aussi, un genre de beat maker. Je voudrais être le roi, comme Forest Whitetaker. Tu voulais du ghetto, ma musique a le droit de Véto, Car j’ai l’art du béton, dans mes coups, ma voix, mes épaules. N’écoute pas, si t’aime pas, ou t’as un Petit-cœur. Le succès est ma loi, et Donne de l’Urticaire. Refrain : Je représente, ma race, mes traces, ma force, car ma source s’appelle, GA-Ba-O! Au bout du monde, sans repères, et ma place, de renaissance, j’appelle, GA-Ba-O! Dans le Hip-hop, mon message, et la marque, de ma détresse, s’appellent, GA-Ba-O! Pour ceux qui blessent, et qui oppressent, je crée j’écris je crie, Ga-Ba-O!
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Clair Obscur Productions est fier de vous présenter le premier album du collectif Tu-Suns Empire intitulé «PROJET GABAO».

L’album «PROJET GABAO» est une façon originale et différente de faire connaître un nouveau label de musique urbaine québécoise «Clair Obscur Productions» ainsi que ses artistes. Prenant la forme d’un projet d’album spécialement conçu pour le Gabon, le Projet met en avant-plan un artiste d’origine gabonaise : Aldric Lizzard Seven – signé sous Clair Obscur Productions depuis 2009.

Après la promotion de la musique du label canadien qui a débuté en mai 2010, Clair Obscur Productions a décidé de sortir cet album dans toute son intégralité afin que le public découvre le large éventail de saveurs musicales de ses artistes.

Laissez vous porter par cet opus, «PROJET GABAO» qui marque le début de la grande aventure de Clair Obscur Productions «La définition d’un nouveau son»!

credits

released November 30, 2011

Son of Sparta Publishing
Akens Music Publishing
Dian Tian Publishing

Album enregistré au studio B-Good Records

Arrangeur: Simon Éthier alias Le Chirurgien, technicien de son de Clair Obscur Productions.

Toutes les chansons ont été réalisées sous la supervision du propriétaire et directeur artistique de Clair Obscur Productions, Jonathan Pépin, ainsi que toute l'équipe du label.

Tous droits réservés - Clair Obscur Productions

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Tu-Suns Empire Montréal, Québec

Le Tu-Suns Empire est le collectif des artistes de Clair Obscur Productions.
Clair Obscur Productions, est un label indépendant de musique canadienne créé depuis octobre 2007 par Jonathan Pépin a.k.a. King Leonidas a.k.a. Leo De Sparta (propriétaire, artiste et beatmaker).
Le label oeuvre depuis sa création à la diffusion d'une musique qui se veut stimulante, réfléchie et authentique.
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